« Je recouds des morceaux d’histoire et reprise les accrocs du passé. » C’est ainsi que Pascale Drivière a coutume de se présenter… Mais ce constat personnel ne rends pas compte de l’essentiel, à savoir ses qualités de portraitistes, la finesse de son trait d’aiguille, l’exigence de son dessin. Chemises rapetassées, caracos élimés, mouchoirs… sont des toiles de fond sur lesquelles court l’aiguille qui dessine, écrit, sculpte… « Pour moi, raconte Pascale Drivière, c’est un travail de mémoire, un hommage au labeur des femmes. »

C’est comme si elle avait fouillé dans un grenier, découvert ces reliques et raconté leur histoire… même si elle est imaginaire.

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